Une soirée avec M. Valentin
Avec les films d’H. Gruvman,
et les nouvelles de : J. Cortazar, D. Kostolanyi, H. Gruvman
MUSIQUES DE R. Tallet- J. SRNIC et / ou G. FEYLER
Les courts-métrages
d’Henri Gruvman
sont
«Je reviens de suite »
« Bol de Jour »
« Shimpf la fumée»
Les trois nouvelles sont:
Le « cache cache aveugle » du poète D.Kostolanyi qui célèbre la liberté et la fantaisie de l’enfance.
Le « Sourire de la moustache » qui suit la dérive de M. Valentin, représentant en vêtements, dont le brusque silence provoque une série de catastrophes plus ou moins loufoques et désopilantes.
« Robes de chambre » où ce même personnage récurrent de M. Valentin est réveillé de bon matin par une quinzaine de
femmes, qui viennent assister à son quotidien comme si c’était un spectacle et qui à son coucher est entouré de vieux .
Le programme de« LA SOIRÉE AVEC M.Valentin » se déroule comme suit : 40 minutes de courts-métrages40 minutes de lectures de nouvelles5 minutes d’intermèdes musicaux. En alternant la lecture des nouvelles et la projection des courts-métrages. Pourquoi un spectacle en appartement ?
Mes récits jouent sur la confrontation du réel avec l’imaginaire.
De plus chacune des fictions entretient des relations plus ou moins proches avec les différentes pièces d’une maison .
(la chambre à coucher pour « Robes de chambre » le bureau pour « le sourire de la moustache » et le salon pour le
« Grand chahut »).
Il y aura ainsi, pour chaque histoire une mise en scène, et une utilisation de l’espace particulier de chaque chambre.
De la même manière que les nouvelles glissent de la plate réalité à un monde illusoire, le cadre de l’appartement sera complètement métamorphosé par la magie du verbe, et par la force du récit.
Le rapport avec le public risque d’être totalement bouleversé par la proximité, l’intimité même de la relation qui va s’établir entre l’hôte et ses invités.
Un homme se raconte, se confie et rêve ; il nous propose un grand voyage dans son espace quotidien.
Les films eux, seront projetés par vidéo –projecteur sur les murs ou sur un écran.
« Les rêves c’est quand ça reste dans la tête,
les cauchemars c’est quand ça vient dans la chambre »
(Un enfant de 11 ans )
