A PROPOS DE GRUGRU
( version 1, 2, et 3)
Quelques extraits de presse
" Il faut aller faire connaissance avec Gruvman clown et poète : ce spectacle où le burlesque et la tendresse font un mariage très moderne, est à marquer d'une pierre blanche dans la maison. "
Robert Abiracheid
Libération
Un jour le cinéma a fait l'amour avec le théâtre et neuf mois plus tard, Grugru est né.
C'est drôle et beau comme Keaton et Grock ( J. P. Thibaudat)
Printemps de Bourges
Il sort d'un film comme on sort de chez soi et peut y retourner avec la même confondante tranquillité.
D'écran en scène et de scène en écran...orphée sur son chemin initiatique . (F. Venaille )
Le Matin -Suisse
Henri Gruvman invente un nouveau genre / un two men show pour solo, sur planches et sur écran...
Du mime un clown?
Dans un one-man-show non-stop sans paroles et flamboyant, Henri Gruvman joue à la fois sur tous les éléments et toutes les ficelles de la scène, de l'écran, de la musique et de l'expression corporelle ....
(Michel Noverraz)- Festival de la Batie - Genève- 1984
Télérama
Amateur d'originalité, de poésie et d'invention, courez de toute urgence voir Grugru ! Il vous attend avec son fabuleux miroir aux alouettes, ses jeux avec sa propre image, des musiques, des bruits, mais pas un mot.
Et cependant il dit tout. (J. Arbois- Chartier)
Les Cahiers du Cinéma
C'est le côté grave de ce spectacle comique qui bouleverse ; l'acteur qui s'acharne à ressaisir la matérialité même de son corps divisé en deux réalités sensibles. (J.L. Comolli )
L'Humanité-
SUPERBE GRUGRU ou la rencontre fantastique du théâtre et du cinéma
... C'est une manière de légende à mille portes.
Où chacun entre par les couleurs de son rêve ; bleus éclatants ou mauves argiles.
IL y a la mer et son parfum absolu, il y a l'enfance oubliée et toujours resurgie, il y a la femme idéalisée.. le bonheur tout simple.En trois images.
L'instant sublime et précaire... ( D.Pantchenko)
LIBÉRATION
..Tout ce que Henri Gruvman( dit grugru) a essayé de faire ces dernières années(libé en a souvent parlé)
il le réussit parfaitement aujourd'hui.
Et son spectacle est tour à tour triste, joyeux , désespéré, ironique.
Il faut y courir pour l'originalité de cet humour.
Gags sonores rares dus à un étonnant sens des sons et jeux visuels de miroirs et de doubles ...
Il est ce qu'aurait dû être les clowns des cirques qu'enfants, nous n'avons jamais vus. (J.M.TERRASSE )
Politis
.. C'est d'un charme très vif et d'une virtuosité confondante.
Si l'on veut on peut retrouver le même Grugru, non plus dans son univers, mais dans celui de Marivaux interprétant un marquis du legs mis en scène par Serge Dangleterre.
Il y apporte sa drôlerie mais en se pliant à une ligne générale qui atténue la courtoisie et fait saillir l'âpreté et la sécheresse..Gilles Costaz
THE SCOTSMAN
Mime at its best is a graceful creator of symbols: it can organise familiar objets and actions into patterns and meanings wich words with their clumsy vagueness could never convey.
That is what Henri Gruvman does in this captivating show. Amusingly, endearingly, perceptively, he investigates the nature of our reality through action, silent film, music and supremely mime ...
So with remarkable originality, Mr. Gruvman breaks down the barriers between the illusion of the film, the realism of theatre, the perfection of music and the anarchy of the world to indicate that art, because it simplifies, can give meaning to our existence... ( LINDSAY PATERSON)
THE OTTAWA CITIZEN
Clown-like grugru moves artfully between stage and cinema
...There is a wonderful moment as Grugru on film makes love to the image of a woman in a full-length mirror he is holding...
This blending of theatre and cinema is carried to a point of technical genius by Gruvman and his crew.( JOHN HARE- 1996 )
l'unita-
... Fa parte del suo gioco mimetico-ricorda parecchio, nel viso e nella corporatura, il nostro Benigni. Certe sue gags iniziali, certo suo modo muoversi, mi avevano invece ricordato la comicità prettamente cinematografica di Pierre Etaix. Ma lui, sia pure molto garbatamente, rifiuta queso riferimento.... A Montecatini ha conquistado quasi subito il public... (NINO FERRERO) "...
Il y avait de la magie, du merveilleux ce 26 novembre 1991 sur la scène du Carlos Alberto et je vous suis reconnaissant de nous les avoir donnés-
Les spectacles de cette qualité sont bien trop rares.
- Pierre Maurel - directeur de L'Institut Français de Porto (Portugal)
EGIN- GRUGRU - recomendacion incondicional -( AU Festival de cinéma de SAN SEBASTIAN )
A PROPOS de Don Diegue contre Super 8
LE PARISIEN
" ... Imperméable à la Tati, aussi insaisissable que Harry Langdon, henri Gruvman , dit Grugru, sait comme nul autre pareil manier la caméra. Elle est sa complice, sa partenaire privilégiée, sa seule défense et son exutoire... une histoire muette et multiforme; irracontable, qui mérite vraiment le détour.( AGNES DALBARD )
TELERAMA
" ... Ils jouent avec les images comme le chat avec la souris, les piègent, se piègent eux-mêmes, les retournent comme on retourne un gant...Ceux qui ont vu Grugru il y a trois ans n'ont pas oublié l'humour d'Henri Gruvman, son étrange dialogue avec les mystérieuses images qu'il projetait sur l'écran de la scène, où petit homme ironique et muet, il vivait les difficultés de la vie quotidienne.Ils sont deux cette fois sur la scène à jongler avec les images.... Un spectacle qui ne ressemble à aucun autre qui fait rire en toute simplicité mais qui est bourré de malice. (Janick Arbois Chartier )
A PROPOS DE WILLY WHYNOT
Il a la légèreté d'un poète et l'habileté d'un prestidigitateur. Seul sur scène, Henri Gruvman aime à faire rêver son public, à le plonger dans l'univers de la création théâtrale... Dans son nouveau spectacle, <<Willy Whynot>>, il se dédouble, auteur sur l'écran qui occupe la moitié de la scène et personnage manipulé, en chair et en os qui entre et sort de l'écran. Ses trouvailles évoquent l'univers de Jacques Tati. Son jeu de clown, celui d'un Buster Keaton. C'est drôle, émouvant, grave parfois.
Maëlle Flot (LE PARISIEN - 25 MARS 1999)
MIDI LIBRE DU Lundi 30 octobre 1999« Willy Whynot »
Une pièce de CINEPHILE
Henri Gruvman réussit l’alchimie risquée
De la scène et de l’écran
Ancien compagnon de Jacques Nichet avec qui il a fondé le théâtre de l’Aquarium, Henri Gruvman explore depuis vingt ans les mille-et –une combinaison possibles entre cinéma et théâtre.....On ne sait si le théâtre fait l’amour au cinéma ou si c’est le contraire tant les rapports entre les deux sont fusionnels. On se laisse prendre complètement à ce spectacle original et poétique que le comédien-auteur a placé aux limites de deux réalités. On rit énormément des vicissitudes burlesques de cet écrivain, poussées jusqu’à l’absurde. M.C.H
A propos du "livre de mon père"
le Matin (suisse) ( 9 octobre 1999)
Deux destinées bien différentes se croisent sur la scène du Théâtre du Crêve-coeur à Cologny- Un bel hommage de deux comédiens à leurs parents respectifs... D'une destinée terrible "le livre de mon père" fa it un récit touchant, sincère où l'humour le dispute au désespoir.
A PROPOS DES COURTS METRAGES
LE FILM FRANçAIS
" Le jury a décerné son prix du court métrage à l'excellent film d'Henri Gruvman "Bol de jour".
Gruvman réussit avec ce film à nous émouvoir et nous faire rire en un minimum de temps ( 6 minutes).
De la belle ouvrage pour distributeur en mal de première partie . Avis aux amateurs...
L'humanité-
Dans la programmation du panthéon il y a de petites merveilles comme "Je reviens de suite" de Gruvman qui poursuit sans faillir son travail sur l'image et son objet - Gilles Le Morvan-
Aspects du court métrage français sur FR3
Une très belle réussite, ce court métrage, joli spectacle d'un comédien qui passe à travers les miroirs, intéressante réflexion sur l'art qui renvoie à la réalité et vice versa.
Ce film "Je reviens de suite " a fait la joie des publics des rencontres d'Epinay, des Festivals de Grenoble et de Clermont- Ferrand .